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Programmation, série Z

Publié le

J'aime bien les séries Z. Filmées caméra au poing, sans souci de cohérence, ni entre les plans ni dans le scénario quand celui-ci existe. Ça me détend.

Par contre, je déteste retrouver ces caractéristiques dans mon métier. Ça me crispe.

Je comptais dans ce blog développer sur certains anti-patterns auxquels je suis confronté, que ce soit dans du code professionnel ou amateur. Restais à choisir un bon premier candidat et un bon angle pour l'aborder sans copier/coller des morceaux de programme que je n'ai pas le droit de sortir du boulot.

Puis un collègue m'a envoyé ce lien (archive). Et la crispation se transforme en détente. Ils sont tous là, tous les joyaux qui font se taper la tête contre le clavier en maudissant ceci ou cela.

Ça ne vous fera très probablement par rire si vous n'avez jamais programmé ou encore si vous appliquiez les recettes décrites avec le secret espoir de n'être jamais découvert ou bien encore si, par soucis de préservation, vous programmez aujourd'hui de la même façon que vous programmiez il y a vingt ans.

Dans le cas contraire, je vous conseille cette lecture. Vous aussi, riez (jaune, parfois) en vous remémorant à chaque paragraphe, ou presque, les nombreuses fois où vous avez eu à faire au cas décrit. Rougissez un peu aux quelques paragraphes qu'il vous ait arrivé d'appliquer (mais vous aviez une bonne raison, je le sais).

Pour finir ce billet, je l'avoue, je ne suis jamais tombé sur « Åccented Letters ». Et je ne m'en porte que mieux.